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Hopper
Karin Müller
Dans cette petite biographie vivante, écrite à la première personne, l’auteur s’est glissée dans la peau de ce très grand artiste new-yorkais qui marqua à jamais l’histoire de l’art des États-Unis. Elle nous raconte ses découvertes, ses appréhensions, ses rêves, ses doutes, ses échecs et ses victoires.
Peintre de la solitude, de l’incommunicabilité, de la mélancolie, ses toiles nous renvoie à notre propre image, à nos souffrances et doutes, comme en témoigne le succès de la grande rétrospective du Grand-Palais de 2013.
Comme pour Van Gogh, Matisse ou Nicolas de Staël, Karin Müller suit les méandres de ce maître de la figuration du XXe siècle qui séjourna, jeune, à Paris – il restera à jamais marqué par la France et l’impressionnisme - aima passionnément le théâtre, se maria à 40 ans, n’eut pas d’enfant, et dont l’unique horizon fut la peinture. Il légua son œuvre au musée Whitney de New York.
Il n’est pas difficile de peindre une scène ou un motif, écrivait Hopper en 1957. Ce qui est difficile, c’est d’exprimer une pensée par la peinture.
La biographie à la première personne de Karin Müller évoque un journal intime ou une longue interview posthume d’Edward Hopper. Il fallait beaucoup de rigueur, de retrait et de sensibilité pour donner voix au grand silencieux de la peinture figurative américaine du XXe siècle, au peintre de l’incommunicabilité - Christophe Duvivier, Directeur des Musées de Pontoise, auteur de la préface.
Une vraie biographie ; une petite merveille qui se lit comme un roman. - Gérard Collard, France Info
Et ça vit, le sang bat là-dedans, Karin Müller prête sa chair, son évidence minérale comme disait Charles Dullin à ce peintre - Michel Quint
Karin Müller prête sa plume au peintre qui se raconte au fil des pages, une biographie intime, qui permet de mieux comprendre l’oeuvre de Hopper.
20 minutes