En librairie le 24 Janvier 2018
ISBN
2-87623-681-3
Format
150x240
Page
p.
Prix
23 €
Venise trahie
Gabriel Milesi
16 mai 1797. Pour la première fois de son histoire des troupes étrangères foulent le sol
de Venise. Bonaparte s’y installe en conquérant.
Le vieux régime des Doges cède la place à une République démocratique provisoire qui tente de redresser une situation économique catastrophique aggravée par les énormes exi- gences financières de Bonaparte. La Sérénissime est exsangue. Toutes les villes de la Terre ferme ont proclamé leur indépendance. L’Autriche occupe la Dalmatie. L’empire vénitien n’est plus qu’une poignée d’îles isolées dans la lagune.
Pour faire face aux difficultés, la Municipalité devient de plus en plus révolutionnaire.
Les lions sont abattus. Les impôts augmentés. Les églises pillées... Le Florian devient le Caffè de la fraternité patriotique.
Tandis que les révolutionnaires font une confiance aveugle à Bonaparte, la comtesse Isabella Teotochi Albrizzi qui a pourtant soutenu ce changement politique, s’inquiète du sort réservé à son pays par le Général en chef de l’armée française. Des rumeurs affirment qu’il pourrait lors des négociations qui s’engagent avec les Autrichiens, sacrifier Venise sur l’autel de la paix.
Le peuple de Venise qui manque de tout, manifeste de plus en plus sa haine de l’occupant. Des soldats français sont assassinés. Des ex-aristocrates fomentent un complot qui vise à assassiner le Général en chef et à faire alliance avec Vienne. Isabella s’emploie à la faire échouer. Bonaparte qui devient son amant d’une nuit lui promet un avenir pour Venise. Il la trahira.
Le 18 janvier 1798, les Autrichiens prennent possession de Venise et d’une partie de la Vénétie.
Le vieux régime des Doges cède la place à une République démocratique provisoire qui tente de redresser une situation économique catastrophique aggravée par les énormes exi- gences financières de Bonaparte. La Sérénissime est exsangue. Toutes les villes de la Terre ferme ont proclamé leur indépendance. L’Autriche occupe la Dalmatie. L’empire vénitien n’est plus qu’une poignée d’îles isolées dans la lagune.
Pour faire face aux difficultés, la Municipalité devient de plus en plus révolutionnaire.
Les lions sont abattus. Les impôts augmentés. Les églises pillées... Le Florian devient le Caffè de la fraternité patriotique.
Tandis que les révolutionnaires font une confiance aveugle à Bonaparte, la comtesse Isabella Teotochi Albrizzi qui a pourtant soutenu ce changement politique, s’inquiète du sort réservé à son pays par le Général en chef de l’armée française. Des rumeurs affirment qu’il pourrait lors des négociations qui s’engagent avec les Autrichiens, sacrifier Venise sur l’autel de la paix.
Le peuple de Venise qui manque de tout, manifeste de plus en plus sa haine de l’occupant. Des soldats français sont assassinés. Des ex-aristocrates fomentent un complot qui vise à assassiner le Général en chef et à faire alliance avec Vienne. Isabella s’emploie à la faire échouer. Bonaparte qui devient son amant d’une nuit lui promet un avenir pour Venise. Il la trahira.
Le 18 janvier 1798, les Autrichiens prennent possession de Venise et d’une partie de la Vénétie.
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